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1.
Article in French | AIM | ID: biblio-1263808

ABSTRACT

Décrire les caractéristiques épidémiologiques et lésionnels, les aspects thérapeutiques,et l'évolution des fractures de l'humérus proximal.Patients et méthodes Quarante-neuf fractures (une bilatérale) traitées entre 2004 et 2012 ont fait l'objet d'une étude rétrospective. Les fractures ont été classées selon Neer. L'évaluation anatomique a été faite par la stadification de Prieto et Samilson. L'évaluation fonctionnelle a été effectuée par le score de Constant.Résultats L'âge moyen des patients était de 40 ans. Il y avait 38 hommes et 10 femmes. La cause la plus fréquente était l'accident de la voie publique. Trente et une fractures étaient déplacées.Les fractures et fractures luxations à 2 fragments étaient les plus fréquentes (n=27). Il y avait 14 fractures de membres associées. Quatre polytraumatismes ont été observés. Le Traitement était orthopédique (n=28), chirurgical (n=20) et fonctionnel(n=).Le délai moyen de consolidation était de 71 jours. Au recul moyen de 5,2 ans, 32 épaules ont été évaluées. Le score de Constant pondéré était en moyenne de 89,8%. Quatre omarthroses ont été notées. Une nécrose de la tête humérale compliquant une fracture à 4 fragments a été objectivée. Conclusion Dans notre contexte d'exercice, les fractures de l'extrémité proximale de l'humérus touchent préférentiellement les adultes jeunes au décours de traumatismes violents.Les fractures déplacées sont fréquentes. Elles sont dominées par les fractures et fractures luxations à 2 fragments. Leur traitement est chirurgical ou orthopédique.Les résultats fonctionnels sont satisfaisants mais il existe un risque d'omarthrose à long terme


Subject(s)
Developed Countries , Humeral Fractures , Humerus , Shoulder Fractures
2.
Article in French | AIM | ID: biblio-1263809

ABSTRACT

Les fractures de la diaphyse humérale peuvent être traitées orthopédiquement ou chirurgicalement.Le but de cette étude était d'évaluer les résultats anatomiques et fonctionnels du traitement chirurgical de ces fractures.Patients et méthodes Les dossiers de patients opérés pour une fracture récente de la diaphyse humérale entre mai 2014 et mai 2016 ont été analysés de manière rétrospective.Il s'agissait de 13 hommes et 6 femmes avec un 'âge moyen était de 34 ans. Ils étaient admis après un délai moyen de 10 heures. Les indications opératoires étaient un échec du traitement orthopédique (n= 5), le terrain avec une obésité (n= 3), les polyfractures (n= 4), les polytraumatismes (n=2), les fractures ouvertes (n=2), le désir de reprise rapide de l'autonomie chez des sportifs (n= 2), et le type anatomique de la fracture (fracture C1) (n= 1). Les patients ont été opérés après un délai moyen de 9 jours après leur admission.Nous avons réalisé 17 ostéosynthèses par plaque vissée et deux embrochages de type Hackethal.Les patients ont été évalués selon le score de Stewart et Hundley.Résultats Tous les patients ont été revus avec un recul moyen de 14 mois (extrêmes 6 et 23 mois). Le délai moyen de consolidation était de 15 semaines .Dix-huit fractures ont consolidé. Le score de Stewart et Hundley était très bon (n=17), bon (n=1), et mauvais (n=1). L'évolution a été marquée en postopératoire immédiate par une parésie radiale chez deux patients. Elles ont totalement récupéré. On notait une infection du site opératoire.Cette infection a tari avec les soins locaux et une antibiothérapie adaptée. L'évolution ultérieure était une pseudarthrose.Conclusion Le traitement chirurgical essentiellement par plaque vissée à foyer ouvert des fractures de la diaphyse humérale chez l'adulte donne de bons résultats anatomiques et cliniques


Subject(s)
Fracture Fixation, Internal , Humerus , Intra-Articular Fractures
3.
Article in French | AIM | ID: biblio-1263798

ABSTRACT

Introduction: La reconstruction des pertes de substance osseuse étendue du membre inférieur fait appel à plusieurs techniques. L'objectif de cette étude était d'évaluer les résultats préliminaires de la technique de la membrane induite. Matériels et méthodes: Cette étude rétrospective a concerné 20 patients qui avaient une perte de substance osseuse primaire (n=5) et une perte de substance osseuse secondaire (n=15). La longueur moyenne du défect était de 7,6 cm (2-13cm). Selon la classification de la SOFCOT, les lésions étaient de type 1 (n=5), type 3 (n=3), et type4 (n=2). La reconstruction concernait le tibia (n=14) et le fémur (n=6). Lors du premier temps, la contention a été assurée par une attelle plâtrée postérieure (n=2), le fixateur externe (n=14) et les broches (n=4). Le délai moyen entre le premier et le deuxième temps était de 5,23 semaines (4- 44 semaines). Des greffons iliaques cortico-spongieux ont été utilisés. L'évaluation des patients revus au contrôle a été réalisée selon les critères de l'ASAMI. Résultats: Avec un recul moyen de 2 ans (8mois-4 ans). La consolidation a été obtenue chez 15 patients dans un délai moyen de 9 mois (4 - 24 mois) au prix d'une seule intervention de greffe osseuse. Le résultat anatomique était excellent (n=10), bon (n= 3), moyen (n= 3)cas et mauvais (n=3). Le résultat fonctionnel était excellent(n=10 ), bon (n= 3), moyen (n= 3) cas et mauvais (n=3). Conclusion: La technique de reconstruction par membrane induite représente une méthode de choix dans l'arsenal thérapeutique des reconstructions osseuses malgré un délai assez long de consolidation en partie lié au retard de la réalisation du premier temps


Subject(s)
Cote d'Ivoire , Lower Extremity , Patients
4.
Article in French | AIM | ID: biblio-1269090

ABSTRACT

Trente six (36) dossiers de patients présentant unefracture concomitante des membres et de la face ontété revus de façon rétrospective. Il s'agissait de 26hommes et 10 femmes âgés en moyenne de 32,91 ans(extrêmes 03 à 70 ans) tous admis au CHU de Treichvilleentre janvier 1998 et octobre 2003.Les accidents dela voie publique représentaient l'étiologie la plusfréquente (77,8%). Le membre inférieur était intéressédans 69,44% des cas et les lésions maxillo-faciales selocalisaient à l'étage inférieur dans 61,11%. Lesassociations lésionnelles fréquentes étaient lesfractures mandibulaires associées aux fractures dufémur (13,88%). Les sièges des fractures étaient divers etaucune association n'était significativement pré-pondérante pour expliquer des circonstancesétiopathogéniques particulières.Les moyens thérapeutiques utilisés dans les deuxspécialités ont été dominés par les traitementsorthopédiques. En définitive, 36,11% des patients ontété pris en charge dans le même temps opératoire,séparément et de façon différée pour 63,89% destraumatisés.L'évolution a été simple chez 29 patients, soit80,6% avec une consolidation acquise pour toutesles lésions fracturaires. Des complications ont étéobservées et se résumaient en 5 sepsis superficielset une nécrose commissurale. Une séquelle a typede raideur du poignet a été constaté.Au sein d'une même structure hospitalière la priseen charge des fractures maxillo faciales et desmembres doit obéir à une concertation préalable entreles spécialités afin de permettre un traitement rapideet complet des lésions


Subject(s)
Cote d'Ivoire , Extremities , Facial Injuries , Fracture Fixation , Orthopedics , Traumatology , Wounds and Injuries
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